Par un hiver de 2010, quand certains restent au coin du feu, d’autres rêvassaient d’un temps où Focus, Yes, Emerson Lake and Palmer ou les Pink Floyd constituaient le must du psyché-progressif. Au détour d’une mesure asymétrique, se créa alors le groupe The Dolls Men, tout droit débarqué des années 70, du temps où l’expérimentation musicale était la reine. A l’époque six membres, réunis sous la même bannière d’un rock mêlant philosophie et musicomanie, débarquaient du fond de leur campagne. Depuis Décembre 2017 le groupe compte quatre membres Benjamin souchet, basse, chant, Leo Benoit, guitare chant, Paul Seagull, clavier chant, Sylvain Anger Batterie tous bien déterminés à se faire entendre et à nous faire replonger dans leur univers, entre synthétiseur, batterie groovie à la limite du rock fusion, guitare au son bizarre, basse envoutante. Déjà 2 albums façonnent leur parcours l’un sorti en 2011 « Between heaven and hell » et Men hear en 2015. Aujourd’hui, ils nous proposent d’entrevoir le monde de ce nouvel album « Stepping stone »