L’actu de la semaine (12 novembre 2024)

Salut à toutes et à tous, dans ce RIFFX HEBDO, André Manoukian dédécrypte un groupe phare des années 80, Simply Red, on évoquera le nouvel album de The Cure, numéro 1 aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne et tout de suite, l’actualité de la plateforme musicale du Crédit Mutuel !

 

Il a sorti un album intitulé « Mon cœur bat », mais c’est récemment la Cigale que Nelick a fait vibrer. Il s’est également fait remarquer avec trois concerts dans un bus sillonnant la capitale, Nelick est passé par les studios vidéo de RIFFX by Crédit Mutuel pour partager ses plus grandes émotions musicales, c’est son interview First/Last.

Je vous invite aussi à lire l’interview de Hey Bony, révéLAtion RIFFX Delta Festival 2024, très intéressante et instructive sur le parcours de ce jeune artiste à la curiosité sans limite. Vous retrouvez également dans l’article une vidéo de sa prestation bondissante sur la plage du Prado à Marseille.

Si vous n’avez pas eu la chance de vivre l’édition 2024 du Hellfest, METALXS vient à la rescousse avec pas moins de 4 épisodes de l’émission culte du Métal en France pour revenir sur les points culminants du festival. Interviews exclusives, captations de concert, on croise Metallica, Foo Fighters, Queen Of The Stone Age ou encore The Offspring…

André Manoukian nous plonge dans l’histoire de Simply Red.

Vous adorez David Hallyday ? Le Crédit Mutuel donne le LA à « Requiem pour un Fou », la tournée hommage au répertoire de son père, nous vous offrons même l’occasion de rencontrer David Hallyday et de vivre une expérience unique à l’occasion de son concert du 11 avril prochain au Zénith d’Orléans, rendez-vous dès maintenant dans la rubrique jeux-concours sur riffx.fr … Bonne chance à toutes et à tous et à la semaine prochaine !

 

14 ans que les fans de la bande à Robert Smith attendaient un nouvel album, The Cure est de retour après presque 6 ans d’absence.

  • Ali : C’est le retour d’un groupe britannique mythique ! Mais de qui, Marie ??
  • Marie : C’est le grand retour de Robert Smith et de son groupe The Cure, groupe légendaire du rock britannique formé en 1978 et qui a marqué plusieurs générations avec ses mélodies à la fois sombres et mélancoliques. Après seize ans d’absence, leur nouvel album “Songs Of A Lost World” est paru le 1er Novembre.
  • Ali : Un album très intime…
  • Marie : “Songs Of A Lost World” est leur premier album depuis 2008. Ce nouvel opus est particulièrement personnel : Robert Smith y explore le deuil qu’il a éprouvé ces dernières années après la perte de plusieurs proches. En huit morceaux, The Cure propose une nouvelle production sombre et introspective, rappelant le style de leurs albums cultes. On retrouve ici une profondeur et une mélancolie qui évoquent les grandes heures de The Cure. Robert Smith parle de la fin inéluctable de certaines choses, de l’absence, mais aussi de la nostalgie d’une époque où la vie paraissait plus lumineuse. Il évoque la fragilité de l’existence et la nécessité d’accepter que rien n’est éternel. Robert Smith a aussi écrit sur nos luttes personnelles et nos confrontations avec nous-même. C’est un album qui parle de résilience face à la douleur, sans jamais tomber dans le désespoir total.
  • Ali : Et musicalement, que nous propose “Songs Of A Lost World” ?
  • Marie : Musiquement, on est dans du Cure pur et dur. L’album oscille entre des morceaux longs et hypnotiques et des compositions plus dépouillées. Les lignes de basse, les synthés envoûtants et les guitares forment un son dense et atmosphérique. Robert Smith, qui a écrit et composé chaque morceau, pose une voix empreinte de fragilité et d’intensité. On se laisse porter par des rythmes lents et des mélodies qui semblent flotter dans le temps.
  • Ali : et je crois que tu as une autre excellente nouvelle !
  • Marie : Le retour de The Cure sur scène à partir de l’automne 2025 sans avoir de date à l’heure actuelle.
  • Ali : Quel titre on écoute ?
  • Marie : j’ai choisi “Alone”. C’est un titre puissant qui ouvre l’album et qui illustre parfaitement la profondeur et l’émotion de “Songs Of A Lost World”.